Confidence, Pute malgré moi

Bonjour, Je m'appelle Lucie. J'ai vingt ans. J'habite une petite ville près de la cote d'ivoire. Ma famille et moi travaillons dans les mines cotonnières depuis des années. Mon père avant moi et son père avant lui. Ma mère était morte lors de mon accouchement d'après ce que m'a raconté mon père. Je ne sais rien de plus sur elle à pars le fait qu'elle m'ait donné la vie et qu'elle ait perdu la sienne . Depuis, je vie seul avec mon père. IL s'est toujours démerdé pour assurer mon éducation et mes petits besoins afin que je ne puisse manqué de rien. Tous les weekend pendant que j'était encore un peu plus jeune, je devait avoir sept ans à l'époque, mon père m’amenait voir mes oncles pour que je puisse m'amusé avec mes cousins. Le vendredi soir avant que nous ne prenions le bus pour DIVO, une ville de la cote d'ivoire, il m'envoya dans la concession voisine prendre des rafraîchissements pour la route. Une fois là-bas je ne vu personne. La porte de la boutique était hermétiquement fermé mais le portail de la maison était entre-ouverte. J'entrais alors et je me dirigeais vers la terrasse. Aussitôt, j'entendit la voix d'une femme étouffée dans l'air, des cris, des plaintes, et les gémissements d'un homme. Je poussai ma curiosité et j'entrai au salon. On voyait au sol des vêtements d'homme et des sous vêtements de femme déchirés de part et d'autres sur le canapé. Au fur et à mesure que j'évoluais dans le salon,  les voix devenaient de plus en plus forte. A coté d'un tableau d'art posé au mur se trouvait une sorte de cheminée. A première vu, elle ressemblait à celle qui menait à un  couloir. Les deux voix venaient de là. Mais je n'était pas sûr. Alors suis allé vérifier. Ce que je vit ce jour là me traumatisa toute ma vie. Je n'étais encore qu'une enfant à l'époque; je ne pouvait imaginé ce qui se passait là. Une fois arrivé devant la porte, je vu les deux êtres en transe s'amouraché comme si c'était leurs dernière nuit à passer sur terre. Ils s'étaient mis en tailleur l'un sur l'autre . Tellement ils étaient trop occupé à faire l'amour qu'ils n'aperçu pas ma présence. Je ne pouvais détacher mes yeux de ce qui se passait là. Je restais un bon bout de temps contemplé la scène. Mais L'homme qui se trouvait en bas en voulant se relevé m'aperçu et me fit un léger sourire. Aussitôt je pris la fuite. Je n’arrêtait pas de penser et de repenser à ce que j'avais vu.
- Papa:  Mais Lucie, où se trouve les rafraîchissements que je t'avais commandé?
-  Moi:   Papa j'étais à la boutique tout à l'heure et je n'avais vu personne. Tcho!!! suis désolé papa. Je suis même allé un peu plus loin et je n'ai rien trouvé. C'est pourquoi j'ai un peu tardé papa. excuse moi.   
- Papa: D'accord ma puce. Ce n'est pas grave. Prend tes affaires et suis moi, le bus sera bientôt là.
-  Moi:  D'accord papa.         
C'est ainsi que mon père et moi sommes parti pour DIVO. Tout au long du trajet je n'ai toujours pas cessé de pensé à ce que j'avais vu. Le soir après le dîné, mon père et ses frères partir en boite se saoulé pour faire la fête comme de coutume chaque vendredi soir. J'étais seule avec mon cousin. Il avait la quinzaine. On dormait dans la même chambre. La nuit de ce soir là, en voulant me coucher je le surpris entrain de maté du porno et de jouer avec son sexe. Je n'est pas voulut l'interrompre alors je suis allé me couché au salon, en étant consciente de ce qui se passait là-bas. Je n'est pas pu dormir ce soir là. Des idées cochons me traversèrent l'esprit. Le lendemain matin j'avais une forte fièvre et les paupières rouges. Mon père à son retour me donna de l'aspirine, et je m'en alla me recouché. A mon réveil je me retrouvai encore seule avec mon cousin qui se douchait. Arrivé à la cuisine je fit du bruit en ouvrant les casseroles et il m'interpella aussitôt. Lucie!!! c'est Lucie? Oui je cherche de quoi mangé grand frère!!! Il n'à rien à manger!!! Viens m'apporté ma serviette!!! Ce que je fit!!!! Entre non!!!! pourquoi tu as peur? Non je n'ai pas peur!!! Tenez votre serviette!!!! Lucie!!! tu est vraiment très poli. j'avais la tète baissé je n'osais pas regardé en sa direction de peur que mes yeux croisent son entre jambes. Mais Il me souri et me dit allez vient!!!! Mais regarde moi non ma chérie!!! Ne sois pas timide!!!  De quoi tu as peur? Hier soir j'ai aperçu ta silhouette auprès de la porte pendant que je me relaçait en suivant une vidéo. Il se mis à rire bêtement et me redit à nouveau, petite coquine!!! Qu'est-ce-que t'a vu? T'a envie de le touché? Je n'eus pas le temps de formulé correctement dans ma tète ce que j'allais dire qu'il se mis à me débarrassé de mes vêtements. C'est ainsi que je fit l'amour pour la première fois quand j'avais 7ans avec mon cousin. Le samedi soir il me refit l'amour. Et le dimanche soir aussi. A chaque fois qu'on se trouvait seul il ne pouvait pas s’empêché de me faire l'amour. Du retour à la maison je reparti acheté dans la concession voisine. A mon arrivé je vit le jeune homme de l'autre fois à la boutique cette fois ci. Ma petite!!!! Vient embrassé tonton!!! Toi là je vais t'épouser. Passe par là-bas et entre dans la maison!!! Aussitôt entré, il me fit une biss et me demanda de l'accompagné à l'intérieur. Je me mise à crier et il me menaça de me tué si je fait encore du bruit et sorti un petit couteau bien tranchant. Il me viola à l'intérieur encore et encore et me demanda de revenir chaque soir. Donc chaque soir je ne venait que pour çà. Il me présenta à plein de ses potes qui eux aussi venaient chaque soir prendre du plaisir. A 16 ans je devint célèbre en cote d'ivoire et dans mon quartier pour mes travaux nocturnes. Mon père, les amis de mon père et mes oncles eu vent de çà mais ne savait pas que c'était moi. Moi non plus. Ils étaient tous venu se faire plaisir. Quand J'entrai dans la chambre j'aperçu mon père, les amis de mon père et mes oncles. Je fondit en larme. Mais il me dit, Approche ma puce n'est pas honte!!!! j'était étonné de la réaction de mon père. Je voulu m'échappé quand il se jeta sur moi et me fi l'amour en premier et les autres à tour de rôle. Depuis ce jour là je devint la pute malgré moi.